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Ils devaient prendre une volée, les Rossoneri auront finalement craqué en prolongation après avoir longtemps dominé la rencontre. Cruel épilogue, mais le pragmatisme de la Juve a fait la différence ce soir.
AC Milan 0-1 Juventus But : Morata (110e) pour la Juve
C'est peut-être son dernier match avec le maillot bianconero avant un retour presque forcé à Madrid (la fameuse recompa en faveur du Real), Morata entre en jeu à la place d'Hernanes, un changement en vue de la séance de tirs au but qu'on imagine se dérouler dans quelques minutes. L'Espagnol trottine pour se placer tranquillement devant et suit avec attention un débordement de Cuadrado, le centre est millimétré, la coordination de la reprise de volée également. Donnarumma n'y peut rien, le Milan, auteur d'un de ses meilleurs matchs de la saison, est crucifié. La Juve devient le premier club italien à effectuer un double doublé. Par ricochet, Sassuolo découvrira bien l'Europe.
Brocchi empaquette tactiquement Allegri
L'hymne italien sobrement chanté a cappella par Lorenzo Fragola et repris par un stade en fête, ce Juve-Milan de finale de Coupe d'Italie (4e édition) démarre dans un bon état d'esprit. Côté formations, Allegri poursuit son turn-over dans les cages (Neto au lieu de Buffon) malgré les absences importantes dans les autres secteurs (Bonucci, Marchisio et Khedira). En face, Brocchi fait le choix inverse et titularise Donnarumma. Surtout, il dispose ses joueurs dans un 4-3-3 contraignant les défenseurs de la Juve à se retrouver en situations de un-contre-un. Les grosses absences dans l'entrejeu bianconero se font sentir, le Milan remporte la bataille du milieu et atteint sa ligne des 3/4 avec une facilité déconcertante. Probablement surpris de mettre si facilement en difficulté le quintuple champion d'Italie, les Rossoneri pêchent en lucidité dans la dernière passe, mais obtiennent tout de même quelques opportunités intéressantes.
Bonaventura est le plus en vue, un croquage sur un centre ras du sol de Calabria, une frappe enlevée, une autre à ras de terre qui a bien failli prendre Neto à contre-pied. Poli et De Sciglio tentent également leur chance, mais ce n'est pas cadré. Les Juventini n'y sont pas, multiplient les fautes, mais montrent qu'il ne leur faut pas grand-chose pour mettre un peu de panique dans le camp adverse lors de leurs quelques sorties balle au pied. Néanmoins, le seul fait d'armes est un possible penalty non sifflé sur Pogba en tout début de rencontre. Le plan tactique de Brocchi fonctionne et, galvanisé, un très bon Montolivo harangue ses supporters au moment de la mi-temps. 65% de possession, 10 frappes à 1, il y a de quoi y croire.
Cadeau d'adieu de Morata ?
Après que Russel Crowe, spectateur VIP, a avoué soutenir la Vieille Dame par amitié avec Del Piero, la rencontre reprend avec une configuration identique. Le Milan tient la balle, la récupère vite quand il la perd, et la Juve souffre sans la possibilité d'être soulagée par le jeu au pied de Bonucci. L'heure de jeu a sonné quand Kucka (excellent ratisseur, piètre contre-attaquant) gâche un joli 4 vs 3, c'en est trop pour Allegri qui joue sa première carte en sortant Évra pour Alex Sandro. Évidemment, les Lombards ne peuvent maintenir cette intensité et baissent le pied après 70 minutes de domination. La Juve n'attendait que ça et se montre un peu plus à son aise, notamment via une frappe déviée de Pogba à deux doigts de surprendre Donnarumma. Cuadrado supplée Lichtsteiner, le 3-5-2 turinois devient ultra offensif, et le compteur des tentatives turinoises continue de monter, même si elles sont inoffensives. À la 83e minute, Brocchi opère un premier changement couillu, puisque le revenant Niang prend la place de Poli pour un néo 4-2-3-1 qui cristallise la fin de match et amène tout droit à la prolongation.
La prudence est de mise, aucun des deux adversaires ne veut se découvrir. Il y aurait même presque un arrière-goût de finale de Ligue des champions 2003. Les erreurs individuelles peuvent donc faire la différence, comme cette perte de balle de Montolivo qui amène une frappe de Pogba sur laquelle Gigi II se détend, idem avec le renvoi de la tête trop mou de Sandro, Bacca tente un retourné, mais c'est hors cadre. Morata, Mauri et Balotelli sont les derniers entrants, le premier fait mouche à la 110e sur son premier ballon touché, le second passe tout proche de l'égalisation. Effort minimal, résultat maximal, la Juve décroche sa 11e Coupe d'Italie. Insatiable.
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Menée au score par l'AC Milan, la Juventus Turin a renversé la situation pour s'imposer à San Siro (1-2), lors de la 32e journée de Serie A. Alex avait ouvert le score pour les Rossoneri (18e), Mandzukic (27e) et Pogba (65e) ont offert trois nouveaux points à la Vecchia Signora, qui file plus que jamais vers un 32e titre national. Naples, qui affronte l'Hellas Vérone dimanche, est à 9 points.
La Juventus a très certainement assommé la Serie A pour de bon. Le champion d'Italie est venu s'imposer à San Siro (1-2) après avoir été mené, sur un but de l'ancien Parisien Alex (18e). Mario Mandzukic a permis à la Vieille Dame d'égaliser (27e) et c'est Paul Pogba qui a donné la victoire aux Turinois après la pause (65e). Grâce à ce succès au terme d'un match de très haut niveau durant soixante minutes, la Juventus prend provisoirement neuf points d'avance sur son dauphin napolitain. Milan peut, de son côté, quasiment oublier une qualification pour la prochaine Ligue des champions.
Gigi Buffon n'a pas attendu ce samedi pour s'affirmer dans le groupe fermé des meilleurs gardiens de la planète. Mais quel match de l'ancien Parmesan ! D'abord sauvé par son poteau sur un centre-tir d'Abate (8e), le dernier rempart turinois a ensuite sorti le grand jeu. Un exploit en deux temps sur Balotelli puis Antonelli (14e), une parade sur Honda (34e), et un double miracle sur une frappe en pivot de Bacca, suivi par un tir à bout portant de Balotelli qu'il a détourné sur sa transversale (52e). De dépit, le fantasque attaquant milanais smashera à la manière d'un handballeur le cuir au fond des filets. Un "craquage" logiquement accompagné d'un carton jaune.
Milan a tenu une heure à un rythme digne de la Ligue des Champions avant de coincer. Dans le rôle du matador : Paul Pogba. Déçu d'avoir touché le poteau sur un joli coup franc brossé (60e), le Français a pris sa revanche cinq minutes plus tard sur corner. Une reprise piquée d'attaquant (après une poussette sur Abate) qui n'a laissé aucune chance au très jeune Gianluigi Donnarumma (17 ans). Les Rossoneri ne s'en sont jamais remis.
Avec neuf points de retard sur son voisin interiste, Milan peut oublier de jouer la "coupe aux grandes oreilles" la saison prochaine et devra tout miser sur la finale de la Coupe d'Italie le 21 mai prochain...contre la Juventus. La Vieille Dame a quant à elle frappé un grand coup en Serie A. Avec une avance provisoire de neuf points sur son dauphin, elle se dirige plus que jamais vers un cinquième Scudetto d'affilée.
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La Juventus bat l'AC Milan et poursuit sa remontée
Dans un match important pour rester au contact des leaders, la Juventus a dominé l'AC Milan (1-0) ce samedi. Ni Buffon, qui a fêté ses 20 ans de carrière, ni Donnarumma, titulaire dans la cage du Milan à 16 ans, n'ont eu beaucoup de travail.
Le match : 1-0
Lorsque Gianluigi Donnarumma est né, en février 1999, Gianluigi Buffon était déjà professionnel depuis quatre ans, champion d'Europe Espoirs, international italien, et s'apprêtait à remporter, quelques semaines après, une Coupe d'Italie et une Coupe de l'UEFA. Seize ans plus tard, leurs routes se sont croisées sur une pelouse de Série A et, au contraire de son illustre aîné, le grand espoir du football italien n'a pas su conserver son but inviolé. Impuissant sur la reprise de Paulo Dybala, à la réception d'un centre d'Alex Sandro (65e), Donnarumma a encaissé l'unique but de la rencontre, et l'AC Milan s'est incliné sur la pelouse de la Juventus Turin (0-1) ce samedi.
Ce succès, les hommes de Massimiliano Allegri l'ont plutôt mérité, même s'il est vrai que la construction a souvent été laborieuse, et les occasions pas franchement dangereuses. Donnarumma s'est à peine employé sur un coup franc de Hernanes (41e), ou sur une frappe lointaine de Pogba (61e). Seulement voilà, son homologue turinois n'a pas vraiment eu à faire usage de son talent non plus. Une seule frappe cadrée en 90 minutes, avant un arrêt au pied de son poteau dans les arrêts de jeu, sur une frappe de Cerci. Pour le reste, on a surtout vu M'Baye Niang s'agiter en vain d'un côté, Paul Pogba alterner les bonnes interventions et les approximations techniques de l'autre, et finalement pas grand-chose si ce n'est l'essentiel pour la Juventus : une victoire qui lui permet de revenir à six points des leaders.
Le joueur : Alex Sandro
Il aurait pu passer sa soirée sur le banc de touche, mais il a finalement joué un rôle décisif dans la victoire de son équipe. Entré en jeu après une demi-heure, à la place d'un Patrice Evra diminué au coup d'envoi, Alex Sandro a beaucoup apporté. D'abord défensivement, pour verrouiller son couloir - tantôt face à Niang, tantôt face à Cerci - mais aussi offensivement, avec plusieurs débordements dangereux, dont celui qui a amené l'ouverture du score de Dybala (65e) et celui qui aurait dû sceller le sort de la rencontre si Mandzukic n'avait pas dévissé (90e).
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Vite privé de Ménez sur blessure, le Milan a bien résisté à la Juventus Turin, mais le leader s'est logiquement imposé (3-1) et éloigne la Roma à 10 points avant son déplacement à Cagliari, dimanche (15h00). Les Milanais sont largués, 8es à... 24 points.
Carlos Tevez (à gauche à côté de Pogba) a été décisif sur deux des trois buts de la Juve. (Rts)
Les deux équipes les plus titrées d'Italie ont livré samedi soir pour leur 160e confrontation en Championnat un spectacle digne de leur standing. Dans le droit fil de la domination actuelle du Piémont sur la Lombardie, la Juve l'a emporté sur l'AC Milan qui aura pourtant bien résisté, très près même de revenir une deuxième fois dans le match après une égalisation méritée en première période. Mais la Juve est intraitable: quelques minutes après un duel décisif gagné par Buffon face à Pazzini, Morata a inscrit le but du break après une frappe de Marchisio sur le poteau (3-1, 65e).
Carlos Tevez a lancé le match en partant quasiment de sa moitié de terrain (hors-jeu?) pour aller battre Diego Lopez de près (14e). Le Milan a égalisé sur coup de pied arrêté, le péché mignon des Turinois: tête du néo-Milanais Antonelli, arrivé du Genoa au mercato, sur un corner tiré de la droite (18e). La Juve n'a pas été rejointe longtemps. Diego Lopez a écarté magnifiquement une puissante frappe de Marchisio (30e) mais, sur le corner suivant, un mauvais dégagement est revenu sur Bonucci, buteur du talon (31e). Privé peu après de Jérémy Ménez, sorti blessé (cuisse, 36e), le Milan ne s'est pas résigné. Le début de la deuxième période lui a été très favorable, mais Buffon veillait.
Le fait du match: Buffon évite une deuxième égalisation
Abandonné par sa défense sur la puissante tête décroisée d'Antonelli sur l'égalisation milanaise, Gianluigi Buffon, qui n'a encaissé que 9 buts cette saison en Serie A (10 pour la Juve), a maintenu son équipe en tête sur une action décisive en deuxième période. Le gardien international a eu la main droite bien ferme pour écarter une violente frappe de Pazzini, le remplaçant de Ménez (54e).
L'homme du match: Il paraît que Tevez était grippé...
Carlos Tevez relevait d'une grippe et c'est vrai qu'il est apparu un peu effacé à l'échauffement des Turinois. Cela n'a pas empêché l'Argentin d'enfiévrer le Juventus Stadium. Diminué, l'Apache? Il ouvre le score au bout d'une course de 40 mètres! Manque de ressort? Il saute le plus haut pour rabattre le ballon vers Bonucci pour le but du 2-1! Tevez en est déjà à quatre buts en Serie A en 2015, plus que jamais Capocannoniere (14) devant Higuain et Ménez (12). Il est sorti à deux minutes de la fin, après un ultime une-deux avec Pogba qui aurait pu faire mouche (85e).
Le Milan AC accuse la Juventus de Turin d'avoir manipulé des images pour cacher un hors-jeu de Tevez
Si vous êtes un défenseur de l'arbitrage vidéo, cette histoire est pour vous. Samedi, la Juventus de Turin a battu sans trop souffrir le Milan AC (3-1). Football rimant souvent avec polémique en Italie, le débat d'après-match a très vite tourné autour d'une possible position de hors-jeu de Carlos Tevez sur le premier but des Bianconeri.
Le révélateur incriminé par le Milan AC lors du match contre la Juventus de Turin, le 7 février 2015.
Pour le hors-jeu, en italie comme en France, on pense souvent pouvoir s'appuyer sur le fameux révélateur. Un outil que le club de Silvio Berlusconi accuse d'avoir été truqué par les Turinois sur l'action en question.
Secondo voi nel fermo immagine tv prodotto dalla Juventus, le due linee sono parallele? Per noi no #JuveMilan pic.twitter.com/VEanYEuQVf — AC Milan (@acmilan) 8 Février 2015
Sur son compte Twitter, le Milan AC poste la capture d'écran de cette phase de jeu. Et s'insurge. «A votre avis, les lignes produites par la Juventus sur ce ralenti sont-elles parallèles? Nous pensons que non». Avant d'en remettre une couche sur leur site officiel. «Milan n'a pas l'intention d'attiser la controverse, mais fait une requête précise et claire. Aujourd'hui, les 10 matchs de Serie A sont produits par six producteurs de Sky, trois de Mediaset (le groupe de Berlusconi, ndlr) et un seul indépendant. Milan demande que la saison prochaine, tous les producteurs soient indépendants et ne viennent pas de diffuseurs qui achètent les droits». Et qui ont du mal en géométrie aussi, visiblement
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